Yoann Usai Religion – Il y a quelques instants, Pascal Praud capturait le sentiment de toute une génération qui a vécu les Trente Glorieuses, une période où la France était inégalée dans tous les domaines, avait une compétence reconnue mondialement et dominait toutes les avancées technologiques. Ce court métrage, où les politiciens de droite comme de gauche n’ont pas fait grand-chose pour aider leurs électeurs et ont plutôt laissé le pays sombrer dans la ruine, résume le déclin de notre nation dans les années 2000, c’est pourquoi je le republie. C’est impossible de déceler.
C’est la ligne qui relie la France au Titanic. Le tout est énoncé en un éclair.
Le pays se dirige vers le gouffre dans l’apathie totale de ses dirigeants et de son peuple, ignorant ce qui l’attend, et un tribunal comparable à celui de Nuremberg est nécessaire pour punir ces dirigeants qui ont pris la France et l’ont transformée en un champ de décombres où rien ne fonctionne. . La France se mondialise et se dissout rapidement au nom d’un multiculturalisme suicidaire et d’une idéologie mondialiste.
En plus d’être « sûre », « l’énergie nucléaire » est également non polluante et moins dangereuse. Je vous rappelle qu’aucun incident majeur n’a été signalé en France depuis cinquante ans. Mais l’idéologie, la paresse et l’ineptie ont permis à la France de laisser tomber la bombe nucléaire au fil des années.
La tragédie nucléaire française illustre à quel point nos dirigeants ont agi de manière irresponsable ; aujourd’hui, nous en subissons tous les conséquences. Il y a eu un arrêt à Fessenheim, et la moitié des réacteurs ne répondent plus. Nous avons retiré notre argent du secteur de l’énergie nucléaire et avons complètement abandonné l’énergie nucléaire. Limites, pénuries et hausses : devinez qui introduit cet ajout ? Qui est cette femme impressionnante ? Madame Borne, la directrice de l’école. Le déclin français est symbolisé par la centrale nucléaire.
Nous avons peut-être atteint notre apogée dans les années 70, mais ici, en 2022, nous sommes encore en train de le tuer. Tout ce qui entre en contact avec l’État, y compris le nucléaire, est insuffisant. Cela inclut l’école, l’hôpital, le système judiciaire, la police et le reste. Les nations non classées, désindustrialisées et désincarnées ont tendance à être pauvres.
Ma génération est connue pour les sautes d’humeur erratiques de ses membres, entre tristesse et optimisme. La tristesse et la pitié, pour dire l’évidence, l’engloutissent. Comme le Titanic, la France a lentement basculé sans que personne ne réagisse.
Tous les gabegie, insouciances, incompétences et violations des quarante dernières années sont condensés dans ces quelques lignes. C’est la faute du peuple s’il a élu des dirigeants imprudents qui entraînent leur propre disparition si nos dirigeants sont les principaux responsables de cette catastrophe historique, probablement irréparable compte tenu de l’état du pays et, plus important encore, de l’opinion du peuple. Cela est particulièrement vrai dans une société démocratique, mais il convient de le répéter : les individus sont, en fin de compte, responsables de leur propre destin.
À cause d’une immigration de mauvaise qualité, des délires mondialistes et des diktats suicides imposés par l’Europe, nous avons perdu notre souveraineté et le pays a finalement été décimé. L’administration de droite française a lamentablement échoué à chaque fois depuis 1981. Au contraire, certains travailleurs de LR militent pour la semaine de travail de quatre jours, alors que la France compte le moins de salariés Cigale de tous les pays européens !
Les Français le voulaient ainsi, mais c’est la fin d’une époque pour notre pauvre nation. Ils l’ont encore prouvé en réélisant Macron, le pire ennemi international de la France. Je ne suis pas fan d’Éric Dupond Moretti. Malgré sa position éminente dans la République et les traits attendus d’un ministre, ce piètre Garde des Sceaux incarne de manière caricaturale la composante du macronisme mondial.
En tant qu’avocat tonitruant des médias, son objectif premier était de faire honte aux journalistes qui avaient façonné sa réputation pour l’adapter à l’industrie du spectacle, même s’il lui a parfois fourni une assistance juridique décente. Je ne suis pas impressionné par les capacités de cet avocat.
Cependant, la démission forcée du magistrat en raison de son arrestation illustre l’ingérence politique croissante dans les procédures judiciaires. La commission d’instruction de la Cour suprême aurait seulement transmis l’affaire au pouvoir judiciaire, comme on l’a appris par la suite. N’oublions pas qu’il résume tous les aspects du problème systémique auquel notre nation est confrontée, même si nous ignorons la frénésie médiatique et les solutions politiques inefficaces.
Autorité de découplage ? Le magistrat s’en est désintéressé.
Rappelons qu’Emmanuel Macron a sélectionné Éric Dupond Moretti à un poste crucial dans la république en juillet 2020 dans le cadre de son opération de communication. C’était une erreur tactique et peut-être stratégique de confier la direction de Vendôme à quelqu’un qui ne semblait pas avoir la légitimité ou la compétence pour faire le travail.
La nomination d’un avocat s’est d’abord heurtée à l’opposition de la bureaucratie française uniforme, puis à celle de quelqu’un qu’elle méprisait, avant que l’opinion n’ait pu évaluer la question. A contre-courant du devoir de réserve et dans le respect de la séparation des pouvoirs, le président de la plus grande organisation syndicale de la magistrature (USM) a proclamé. Ce devoir de réserve des magistrats, probablement plus strict que celui des militaires, sera réexaminé ultérieurement.
Il est cependant remarquable de voir que l’ensemble du Conseil d’État a immédiatement suivi cet ordre, donnant lieu à plusieurs réunions, assemblées générales, communiqués de vengeance et déclarations solennelles, dont le communiqué du premier président de la Cour de cassation et du procureur général devant ce tribunal. judiciaire, c’est-à-dire les plus hautes autorités judiciaires de notre pays !
Au soir de la publication du rapport de “la commission Sauvé”, qui dresse un tableau d’abus sexuels sur des prêtres, des diacres ou encore des religieux, Julien Pasquet a précisé sur CNews qu’il y avait une “nde de choc” au sein de l’Église catholique française. Église. Pédocrimes ont fait plus de 216 000 victimes depuis 1950. Attaquant l’Église, la première réaction de Véronique Jacquier est vertigineuse. – A “Il faut d’abord souligner la démarche honorable de l’Eglise”, dit en souriant l’éditorialiste de Bologne.
Durant son adolescence, il s’intéresse beaucoup à la politique et s’oriente naturellement vers l’école de journalisme. Afin de perfectionner ses compétences en journalisme radiophonique, il se rend régulièrement à l’École de la Radio de France pour réaliser des interviews et des reportages. Notamment sur les réseaux RTL, il se met au travail. Il devient assistant de Christophe Barbier, où il apprend les ficelles du métier.
Après avoir rejoint la rédaction d’iTélé en 2011, Yoann Usai reviendra au service politique en janvier 2015. Lorsque iTélé rebaptisera CNews en 2017, le journaliste poursuivra le reportage sur la chaîne d’information Canal+. Dans le même esprit, il anime depuis avril 2021 l’émission politique hebdomadaire Le Grand Rendez-vous, diffusée sur Europe 1 et CNews, aux côtés de Nicolas Barré et Michaël Darmon.
Yoann Usai et les journalistes de CNews fustigeent la couverture “Une” du magazine Libération qui a démoli leur chaîne le 23 juin 2021. Lors des vacances d’été de Pascal Praud en juillet 2021, il prendra la relève en tant qu’animateur de L’Heure des Pros de CNews.
C’est à Clermont-Ferrand que Yoann Usai est né et a grandi. Il a grandi avec un fort intérêt pour la politique, même si personne dans sa famille n’a jamais prêté attention à lui ni essayé de l’en éloigner. Fasciné par les programmes politiques dès son plus jeune âge, il savait qu’il voulait devenir journaliste.
Il perfectionne ses talents en interview et reportage radio au Studio École de France. Assistant de Christophe Barbier chez RTL, il apprend beaucoup et se passionne encore plus pour la politique au cours de son séjour là-bas. En 2011, il réintègre la rédaction de la chaîne iTélé (anciennement CNews), et en 2015, il réintègre le service politique. Il rencontre Yves Calvi, un journaliste qu’il admire et qui lui sert de référence journalistique.
Après le rebaptisation d’iTélé en CNews en 2017, il assume davantage de responsabilités et devient correspondant de la chaîne d’information de Canal+. En avril 2021, il reviendra co-animer l’émission politique hebdomadaire Le Grand Rendez-vous Europe 1 avec CNews et Les Échos avec Nicolas Barré et Michaël Darmon.
Durant l’été, les pros sont à leur apogée. Pendant que Pascal Praud est en vacances, une rotation de remplaçants assure la continuité du chat de CNews. Durant une semaine, du 19 au 23 juillet 2021, Yoann Usai le remplacera. Qui a quitté la chaîne d’information sinon ce journaliste ?
N’est-il pas temps de faire appel aux pros ? Un nouvel épisode de cette émission est diffusé sur CNews chaque jour de la semaine du lundi au vendredi. Plus de 600 000 téléspectateurs sont captivés par les débats souvent houleux sur l’actualité au cours de l’après-midi grâce à deux programmes quotidiens, l’un de 9h à 10h30 et l’autre de 20h à 21h. Le public admire beaucoup le chef d’orchestre Pascal Praud, aidé par des reporters comme Gérard Leclerc et Laurent Joffrin.
De plus, il n’est pas nécessaire d’arrêter la diffusion d’une émission populaire lorsque le pilier part en vacances. Selon plusieurs journalistes, CNews aurait décidé de remplacer celui qui s’en prend violemment à Emmanuel Macron lors de ses meetings de campagne. Après une semaine avec Sami Sfaxi, Yoann Usai prendra désormais la tête de la présentation de L’heure des pros.
Une fascination éternelle pour la politique
Cette jeune trentenaire clermontoise et journaliste politique a fait ses débuts sur ITélé en 2011, un an avant que la chaîne ne change de nom pour Cnews. C’est une question de politique, non ? Un milieu qui l’a enthousiassé dès son jeune âge. Dans une interview accordée à Gala, il se souvient avoir exercé un métier particulier alors qu’il n’avait que dix ans.
Son objectif était “scotchée à l’écran de télévision” alors qu’il observait les préoccupations politiques. Mais pour l’heure, l’avenir de la politique ne fait pas l’objet d’un débat. Racontant à nos confrères : « Il y a beaucoup trop de coups à encaisser » Son parcours préféré est celui de journaliste.
Il voue une grande admiration à deux grands journalistes dans ce domaine. Son vrai nom est Christophe Barbier et il était son assistant. C’était vraiment éclairant pour lui, a-t-il admis. Il admire Yves Calvi pour son professionnalisme et son exigence. Pour le moment, la seule préoccupation de cet homme célibataire est son travail. Son modeste « n’aime pas faire de vagues » autoproclamé continue de galoper. Il a réitéré sa présentation du Grand Rendez-vous Europe 1 sur CNews et Les Échos.
Du 19 au 23 juillet 2021, il sera occupé à une autre tâche : animer L’heure des pros. Sans chercher à imiter l’original, bien sûr. Même si Yoann Usai l’avoue, “je serai forcément moins bon que lui”, il a toujours un objectif : “j’espère ne pas faire fuir tous les téléspectateurs dès mon arrivée”.
Y a-t-il un journaliste en particulier qui a quitté CNews ? La décision du CSA a conduit Eric Zemmour à quitter son émission de CNews. Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) avait demandé le 8 septembre que les chaînes de télévision diffusent dès le lendemain le discours politique de l’homme, qui pourrait servir de tribune à la campagne présidentielle de 2022.
Qui parmi les journalistes a quitté CNews aujourd’hui ?
Plus tôt dans la journée, nous avons appris qu’Eric Zemmour n’apparaîtrait plus dans Face à l’info, l’émission débat de Christine Kelly sur CNews. Ce matin, la nouvelle a été annoncée via un communiqué de Canal+ info.
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